3 chefs à suivre
Le chef hot
Avant de lancer Micho (restaurant de street-food à emporter uniquement), le chef Julien Sebbag était le michto des réseaux sociaux. Pendant de longs mois, il nous a fait baver devant ses essais pour créer le meilleur sandwich du monde. Pour nous chauffer, il nous a mijoté du bœuf à feu doux ou a snacké du lieu jaune avec une sauce chimichurri, le tout fourré dans des pains XXL. À l'arrivée, des mélanges frais et surprenants, qui nous donne envie de mordre à pleines dents dans du panais, les fossettes de chef Sebbag ou des choux de Bruxelles. Et rien que pour ça, notre mère approuve ce compte.
Parce qu'on en a marre du jambon-beurre-baguette et qu'on est en manque d'inspi'.
Le chef pasta friendly
Avec Jordan Moilim l'acronyme CB n'en veut pas à votre solde de compte. En lançant ses stories « Confine Bouche », le journaliste et cuisinier amateur s'est donné comme mission de vider votre stock de nouilles en proposant de la comfort food de qualité. Si sur le papier les pâtes au thon sentent le fond de placard, dans la poêle de « Jomlm » elles se transforment en plat travaillé pour épater les plus gourmets de vos potes. On dit ça, on ne dit rien, mais il paraîtrait que sa recette de spaghettis au citron permettrait de faire chavirer les cœurs sans passer trois plombes en cuisine...
Parce qu'on est pasta ou rien. Ou pastafarien.
Le chef sauce bonne franquette
Retour dans les années 60 avec le chef Michel Dumas. Flanqué d'une épaisse moustache à faire pâlir Magnum, il nous livre ses meilleures recettes qui fleurent bon la France pré-cholestérol, régime et véganisme. À coup de précisions techniques de haut vol à l'image du fameux « comme ça », il enchaîne les moules marinières sauce poulette, ragoût de bœuf aux pommes de terre et Paris-Brest. Mais n'allez pas croire que le chef est un réac'. Amoureux de la bonne chère, c'est avec sa générosité habituelle qu'il a proposé un kebab style wrap pour remercier les commentaires bienveillants du forum 18-25 du site jeuxvideo.com.
Parce qu'on on ne lasse pas de ses petits couteaux de couleurs.