Trois soirées danse au ZEF !

Le ZEF -scène nationale de Marseille- va nous faire danser ce printemps...

3 works for 12

Le 10 Mai, dans le cadre du Festival Propagations, plongez dans l’univers d’Alban Richard. Directeur du centre chorégraphique national de Caen en Normandie, il a imaginé un programme composé de trois œuvres musicales et chorégraphiée pour un large groupe de danseurs. Un opus fascinant où la musique se donne à voir. À moins que ce ne soit la danse qui ne se fasse entendre...

Le 17 Mai, c’est double soirée !

Chronic(s) 2

Hamid Ben Mahi nous embarque avec Chronic(s) 2. Fruit de sa rencontre avec le metteur en scène Michel Schweizer (artiste de la Bande), ce solo évoque son parcours et son rapport à la danse. Avec Chronic(s) 2, on embarque dans une épopée autobiographique où questionnements, anecdotes de vie et danse se côtoient et interrogent à nouveau l’identité du danseur.

LOU

Même soirée, à la suite, un portrait de Lou, fille de la danseuse baroque Béatrice Massin, signé Mickaël Phelippeau. Seule en scène, Lou nous fait découvrir, avec une passion incarnée, cet héritage et ses complexités... En tenue décontractée de répétition comme en habit pigeonnant et corseté, Lou Cantor déploie une énergie folle et communicative ! Un solo explosif autour de la vie et des passions de la jeune femme.

Le 24 mai, rendez-vous avec deux propositions de Leïla Ka, Pode ser et C'est quoi ton adore, reflets de ses influences hybrides... 

 

Pode Ser

Jeune chorégraphe venue du hip-hop, explore dans Pode Ser la question des contradictions qui habitent chaque être. Elle est sur scène comme dans une arène où elle combat, poings serrés, avec et contre son corps. Un solo plein d'émotion durant lequel Leïla Ka tourne autour de ses identités multiples et incertaines, puis laisse éclater ses potentialités avec une ardeur stupéfiante de maîtrise.

 

C’est toi qu’on adore

C'est toi qu'on adore s’inscrit dans le prolongement de Pode Ser. On y retrouve la même énergie hypnotique, la même sincérité à vif, le même mélange des pratiques, au-delà des conventions, propre à Leïla Ka. Ici, cependant, elle n’est plus seule en scène, elles sont deux. Un duo tantôt invincibles, tantôt vulnérables, avancent, résistent, et s’évertuent inlassablement à lutter. Un spectacle qui exalte la beauté des failles et des luttes collectives, incarné par deux danseuses qui déchirent l’espace comme un cri d’espoir.

Pour plus d'infos, c'est sur https://www.lezef.org/fr/